The Midnight Meal Train [PV Emma & Ollivier]

Le titre de ce poste aurait pu être «Une faim de carnassier à minuit dans un train» mais je trouvais ça bien trop fade et sans mordant. Ce sujet aurait pu aussi être nommé «L'arrivée attendu du fils perdu dans une guerre sanglante dont le père est décédé il y a de cela un court laps de temps, fils combattant venu en ville dans le but, encore une fois, de combattre mais cette fois, il combattra ses vieux démons: Ollivier Turner, son frère [Ta-Tam!]» mais le titre était trop long et beaucoup trop révélateur de la suite. Qui aurait voulu le lire par après, hein? Pas vous, j'en suis sûre!

Mais je suis sûre que vous avez encore en mémoire le premier titre qui n'a pas été mis, celui de la fin du carnassier. Un carnassier? Hein? What the hell? La définition du carnassier est la suivante: «Qui se nourrit de chair crue et qui en est fort avide». Là, c'est le boute du boute pour le lecteur. On s'entend qu'on ne parle pas d'un animal là, on parle d'un être humain, doté de sentiments, d'égard pour les autres et qui respecte la vie. Et bien même un petit lapin tout cute et tout mimi pourrait se transformer en terrible tueur si sa vie était menacée. Dans le cas présent, vous me direz qu'aucune vie n'est menacée. Et bien c'est là chers lecteurs que vous vous trompés. Un homme âgé de 25 ans, dont quelques unes avaient servi à son service militaire. C'était un homme libéré. Plus de service militaire, le droit de vote, le droit de boire et de faire la fête, le tout, dans la légalité, le droit d'avoir son propre loft, sa propre vie quoi. Mais on dit qu'un lion en cage, lorsqu'il est libéré, attaque un jour ou l'autre son ennemi. Ollivier aurait peut-être dû prier un peu plus fort le ciel pour ne pas voir tomber sur lui le feu de l'enfer...



Le train venait de s'arrêter en gare. Ce n'était pas le terminus, il lui restait un long chemin à parcourir le long de la carte des États-Unis. On disait qu'il se rendait en Californie. De toute manière, Pinchbeck Creek ne pouvait certainement pas être une destination, ce n'était qu'un minuscule point d'arrêt sur une longue distance.

Il n'avait pas du tout dormi. Pas qu'il fût occupé par l'une de ces cantinières ennuyées par la vie morne et terne à bord d'un train ou qu'il écouta le film combien de fois trop cliché dans un train: «Boréal Express», film destiné à un public n'excédant pas un mètre et demi ou ayant pour titre «Parent attitré à ce môme qui aime Boréal Express et qui m'oblige à faire semblant de capoter devant Tom Hanks en cartoon». Non, il ne fût pas occupé, pas le moins du monde, par le bruit de l'extérieur, contrairement à ce qu'il pensait en embarquant dans le train, un train grouillant de mini machins qu'on osait appeler «enfants».

James se leva, tout frais et dispo malgré la nuit non-existante qu'il avait passée et prit son sac couleur terre. Il mit la gance sur une de ses épaules et commença à avancé. Il prit la porte de sortie du train et marcha dans la petite gare. On était loin de la grande gare de NYC! Il passa devant les innombrables sièges vides, tous organisés en lignes et colonnes. Déprimant tout cela. Personne n'avait donc de famille dans ce bled?

Il continua sa marche vers la sortie où un grand panneau indiquait «Grande Avenue Boulevard», il se dit que ce devait être la grande rue de Pinchbeck Creek. Oui oui, il a un de ces sens de la déduction mon petit Jameschou!

À sa sortie de la gare de la ville, James ne savait plus où aller. Il n'avait jamais vu cette ville auparavant et ne s'y sentait pas assez à l'aise pour une petite exploration en free style. Il fouilla dans sa poche et sortit un petit bout de papier déchiré. Il lu l'adresse se senti vraiment mais alors là vraiment perdu. Heureusement, il se rappelait avoir vu une carte de la ville dans la gare. Il retourna à l'intérieur pour la consulter. Une vieille carte ouais... Pfffff! Elle date des années 50! Et oui James, lis la petite plaque en or dessous! «Carte de l'ancien Pinchbeck Creek, 1950, artiste inconnu» FAILED!!!!

Il sortit son téléphone portable avec GPS intégré. Il avait un iphone! Bon, vous vous dites, hein? Comment ça, c'est juste un soldat! C'est pas comme si c'était Amber Davis là! (=D) Mais il y a des avantages à partir de New York City après son service avec une grosse liasse de billets verts! Pas de famille, pas de dépense!

Il trouva finalement l'endroit voulu et s'y rendit à pied. Et oui, il a pas d'auto dans sa poche là! Il observa en chemin toutes les boutiques, les maisons et les cafés. Wow, comme c'est euh... Pittoresque! Cool!

Heureusement, il arriva rapidement à la maison. Cette maison qui contenait l'ennemi. Le lion était hors de la cage Ollivier. Be aware! Il se posta devant la porte.

*Ding Dong!*

HJ: Je sais pas si vous voulez être là les deux, Ollivier et Emma? Ça serait assez logique... Sinon, je peux changer la fin!

Ollivier était avec Emma, tout deux étaient dans sa chambre a discuter - enfin Oli' lui était plus occuper à trouver sa jeune amie séduisante qu'à réellement parler mais bon on peut pas lui en vouloir tant que ça non? - lorsque le carillon retentit. En fronçant les sourcils, il se redressa, il n'attendait personne et sa mère n'aurait certainement pas sonné avant d'entrer dans sa propre maison, c'était insensé! Il grimpa les escaliers rapidement, laissant dernière lui Emma avec le loisir - ou non -de le suivre.

Il aurait été surpris en ouvrant la porte de la maison et en découvrant James, pourtant celui-ci lui avait passé un coup de téléphone, alors même s'il redoutait cette rencontre, il savait qu'elle viendrait innévitablement. Mais il n'aurait pas cru qu'elle viendrait si vite, ou arriverait de façon si brutale alors qu'il en était encore a espérer pouvoir obtenir l'amour d'Emma - car plus le temps passait moins, il la croyait capable déprouver un sentiment qui serait semblable au sien. Il arriva devant la porte et l'ouvrit sans tenter de deviner ou de prévoir celui qui se trouverait de l'autre côté, qui attendait près a charger, tel un prédateur affamé devant sa proie, mais ici, je crois qu'on aurait frappé juste en parlant de colère ou même de haine, plutôt que de nécessité.

Aussi Oli' eut-il un mouvement de recul en découvrant James, ce frère parti à la guerre, le véritable fils de celui qu'il appelait lui même maman. Il semblait si musclé, si imposant devant Ollivier qui n'avait jamais été que l'esquisse d'un fils parfait mais un fils ni de chair, ni de sang, il n'était qu'un fils de papier et d'argent. De ceux qu'on veut très fort au début qu'on prétend aimé autant que sa propre chair que son propre sang, mais le vrai fils c'était James, ça n'avait jamais été lui.

La poignée lui échapa des mains et la porte continua sa course et heurta fortement le mur derrière. Sous la marque de la surprise, tout ce qu'il parvint à faire fut d'esquisser un sourrire, de passer une main dans ses cheveux et de dire d'une voix un peu molasse:

-James?

La matinée même, couchée sous une tonne de couverture, la jeune fille dormait à point fermée dans son lit. Seulement, les beaux rêves « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants » prirent rapidement fin lorsque la sonnerie de son téléphone : « YOU SPIN MY HEAD RIGHT ROUND RIGHT ROUND WHEN YOU GO DOWN DOWN ! » rettentit dans toute la maison. Il n'y avait personne à la maison, puisque son père était parti en voyage d'affaire pour tout l'été. Et puis donc, Emma prit le téléphone du bout de ses doigts fin et l'ouvrit assez lentement. Celle-ci répondit au téléphone d'une voix assez ... merdique.

- Allo ?
- Salut Emma. Ça va ?
- Uhm ... * baillement * Oui et toi Ollivier ? Il est quel heure maintenant ?
- Euh, ben attends. Je vais aller regarder sur mon portable. 12h43. Dis-moi pas que tu dormais encore ?
- Non .. non.
- T'aimerais venir faire un tour chez moi pour la journée, on pourrait poursuivre notre convo « pour mieux se connaître » ?
- Avec plaisir. Tu me laisses combien de temps pour venir ?
- Comme tu veux Emm'. Je t'attendrai.
- D'accord, à tout à l'heure alors Ollivier !
- Bye.

Et dès lors, Emma ferma le téléphone et leva son tronc. Elle s'étira et regarda l'allure de ses cheveux. Pouah. Ses cheveux étaient devenus hyper atroce. Celle-ci ne regardait jamais l'allure de sa crinière mais aujourd'hui, elle n'avait pas vu pire. Elle sortit les pieds de son couvert de lit et chercha du bout des orteils ses pantoufles carrotés grises et argentés et dès qu'elle les retrouva, celle-ci se leva puis prit quelques morceaux de vêtements. La belle brunette prit une dizaine de minute à prendre une bonne douche chaude, en utilisant son shampoing préféfé Herbal Essences ( L ). Comme toujours, elle avait les mêmes trois saveurs pour bien faire mousser les cheveux : en premier lieu, Hello Hydratation, bouteille bleue à la saveur de noix de coco qui servait à hydrater ses magnifiques cheveux bruns, en second lieu, None Of Your Fitness, la bouteille orange qui servent à lisser sa tignasse à la senteur de mandarine et de perle et, pour conclure, long term relationship, une bouteille rouge qui sert à réduire les petits cheveux cassés pour les cheveux longs. Dès lors, ses cheveux sentent exessivement bon. Bref, dès qu'elle eût finit, celle-ci se vêtit d'une paire de mini-short beige et d'un chandail à manche courte blanche. Elle descendit les marches deux par deux et, chercha dans le frigo une banane et un muffin, à manger en chemin. Elle savait que les minutes passaient si longuement en compagnie d'Ollivier qu'ils en oubliaient même de se nourrir ! Celle-ci se dirigea par la suite en direction de la porte, verouilla la maison et quitta. En espérant que Vanessa avait un double de la clé, elle ne se rapellait plus lui avoir donner. Oups !

En chemin, la nouvelle soeur de Vanessa en profita pour se nourrir et pour profiter du beau temps. Le temps était maussade, c'était vrai, mais tout de même, il avait plu à l'extérieur ses derniers jours et peu importe le temps qu'il faisait, il fallait en profiter avant que les gouttes de pluies ne se réabatte sur la petite cité de Pinchbeck Creek. Quelques minutes après avoir parcouru le chemin, elle vit en face de chez Ollivier l'employé du magasin McDougall, Wellan, qui lui avait apporté la dernière fois un combo de pizza et liqueur à elle et sa soeur. Dissons qu'elle avait été totalement tromatisé et que c'était un dénouement de sa vie qu'elle ne tâcherait de raconter à son meilleur ami. En arrivant sur le seuil de la porte, elle cogna trois coups et entra directement. Sachant fort bien qu'il était seul dans la maison et qu'il s'attendait à son arrivée, elle ne prit la peine de l'attendre comme autre fois, à leur début de rencontre.

Celle-ci gravit les escaliers, après l'avoir apeller et le rejoignit dans sa chambre. Ils parlèrent ensemble, un bon moment dans l'après-midi, encore de tout et de rien, sur leur passion, sur leur vie, leur bon souvenir et leur mauvais et tout plein d'autre. Elle en profita pour lui apprendre la méga nouvelle : elle avait maintenant une petite soeur, Vanessa Swan et lui raconta toute les péripéthies qu'il devait lui raconter.

Un peu plus tard dans l'après-midi, son frère reçut un appel inconnu. Il ne semblait pas s'en préoccuper et Emma n'osa pas insister. Leur amitié avait prit le bon train-train et ne désirait pour rien au monde que celle-ci soit gâché. Ainsi, il continuait leur conversation comme si de rien ne s'était passé.

Une demie-heure plus tard, la sonette retentit et Ollivier gravit les marches. Celle-ci n'entendit que ceci :

- James.

Mais qui était-ce cette personne qui ne lui disait vaguement rien. James ... Était-ce son père ? Son facteur ? Ollivier ne lui avait jamais parler d'un James. Celle-ci descendit les marches pour autant, et alla rejoindre celui qu'elle appréciait tant depuis le premier coup d'oeil. C'était un homme, dans la vingtaine qui semblait bien connaître Ollivier. Peut-être son cousin alors ? Celle-ci ne prit la peine de se renseigner et souria poliment au jeune homme qui se présentait devant elle.

- Bonjour.

Elle n'osa en dire plus, intimider par la présence qu'il y avait devant elle.

Après tout le chemin qu'il avait parcouru, ce serait mentir de dire que James n'était pas fatigué. Un soldat possède une endurance intense. Il est préparé à pouvoir supporter un peu tout et n'importe quoi. Sa formation est construite en fonction de ce critère: l'Endurance. Un don de la nature, non! C'est une qualité, une capacité qui se développe. Et il faut dire que James s'était entrainé comme un força. De jour, un soldat de rang. De soir, un soldat de salle d'entrainement. De nuit, un soldat au repos. Bah oui, y'a une limite là! Et surtout un couvre-feu... Un bon soldat doit avoir du repos un jour, ou plutôt une nuit.

En plus d'une super endurance, un bon soldat doit n'avoir peur de rien. James n'était ni arachnophobe, ni clostrophobe, ni agoraphobe, ni achluophobe, ni... bref, vous avez compris qu'il n'avait peur de rien! Il n'était même pas phobophobe, c'est vous dire! S'il avait été supersticieux, James aurait pu être triskaïdekaphobe, apeuré par le nombre 13, mais non. Disons que c'était pas une fillette (donc plus de Jamychou, oki? ^^)

On a vu l'endurance et la peur. Un bon soldat est aussi doté d'une force plus élevée que la moyenne, ou il sait mieux s'en servir! James avec des muscles un peu partout, partout où ça faisait beau! Il était ma foi très bien bâti. On aurait dit un Apollon, un vrai dieu parmi les hommes, digne de la mythologie gréco-romaine. On aurait dit une de ses statues vieilles de milliers d'années, qu'on retrouve dans les ruines des anciennes civilisations. Des civilisations qui auraient vu les dieux lors de la création du monde. Comme s'ils s'étaient retirés après avoir vu ce que l'humanité était devenue, sale et impure, violente et brutale, folle et détraquée. Si loin de la version originale... Mais dans leur immense bonté, c'est fameux dieux peureux et en fuite nous aurait laissé comme seul souvenir de leur passage sur notre terre, dans notre monde, une statue des plus réussies. Un chef-d’œuvre de création divine. Une chose parfaite et sans défaut. James!

C'est bien beau tout cela mais on a parlé de sa beauté, pas de sa force. En fait, James était un vrai Héraclès des temps modernes. Assez fort et très bien bâti... Mmmmmmmm.... Sweet! Qu'il est beau.... oupssss! Désolée, j'étais sur Google en train de le regarder! Désolée! On reprend, d'accord!

Donc, comme je le disais avant de partir dans les vapes en regardant son corps d'Apollon emprunté à Cam Gigandet, homme marié, à mon grand désarroi, James était assez fort pour vaincre un ennemi, aussi puissant qu'il fût. Pour citer Edward Cullen, une référence ma foi très bien choisie en tenant compte des avatars engagés dans cette superbe conversation totalement cordiale et courtoise: «I'm strong enough to kill you!» ou, en bon français: «Mah te pêter la yeule mon écœurant». Bon, pas exactement mais j'ai bien ma version, et vous? Dans le film d'où est tirée cette merveilleuse citation, c'est le méchant qui mange la volée et le gentil petit vampire végé supposément sexy qui l'emporte sur le combien plus démentiellement sexy vampire pas végétarien. Malheureusement pour Ollivier, dans la vraie vie (lol), ce n'est pas toujours le gentil qui l'emporte. Et en plus, pourquoi ça serait Ollivier le gentil et James le méchant, hein? James a protégé son pays et tous ses habitants en se sacrifiant pour sa liberté! Et qu'est-ce qu'Ollivier avait bien fait de bon de sa vie? Quoi, quoi? J'entend rien! Ohhh! Mais c'est parce qu'il n'a rien fait!!!!!! Je vois. Reconsidérez donc votre position, chers lecteurs! Qui est le méchant, qui est le gentil?

*Moment de réflexion et d'interrogation personnelle du lecteur pendant que moi, je continue à écrire mon poste de Rp, nah! x) *

Bon, prenons pour acquis que votre moment de réflexion s'est avéré fructueux et que maintenant, vous savez que James est le gentil dans l'histoire et que le méchant, le vil, le pas fin de toute cette histoire soit ce mec qui avait ouvert la porte et qui jouait presque bien la surprise.

* * *

Voilà plutôt comment le poste a été écris (l'autre partie aussi a été écrite mais juste pour le fun de vous parlez! Avouez que vous aimez quand je vous parle!!!

Après tout le chemin qu'il avait parcouru, ce serait mentir de dire que James n'était pas fatigué. Il avait entendu des bruits de pas derrière cette porte, seul obstacle entre le moment présent et le moment de la mort d'Ollivier. Bon, j'en mets un peu mais tout de même. You don't mess with the soldier! La porte s'était ouverte, laissant le champ libre à quiconque voudrait s'en prendre au faux-jeton qu'on osait appeler Turner qui avait ouvert cette même porte.

La porte grande ouverte, l’hôte, l’air surpris n’avait pas pris la peine de dire ces quelques mots : «Entre donc, toi, membre de la famille!» Et non, il n’avait su dire qu’un simple «James?» comme s’il ne savait pas qu’il devait arriver bientôt! Et les messages textes, c’est pour les chiens peut-être?

- Et oui! Surpris? Y’a pas de raison!

En disant ces paroles, la porte claqua sur le mur, comme une bonne trame musical sur un fond dramatique ou plutôt épeurant.

- Laisses-moi donc entrer, empoté!

C’est à ce moment qu’il aperçu la jeune fille qui venait de quelque salle de la maison, une maison inconnue de James. James n’eu pas le mal à ouvrir la porte, celle0ci étant déjà enfoncé un peu dans le mur. Une minuscule trace subsisterait peut-être.

-Maman aime pas les traces au mur, Oli’!

James se rapprocha de la jeune fille et c’est alors qu’il senti l’odeur de ses cheveux. Herbal Essence, pour sûr. Mais James ne reconnaissait pas l’odeur des shampoings, seulement les bonnes odeurs.

-T’as apporté à dîner!

Et c’est alors que la jeune fille se fit attaquée par le grand frère, le soldat. Il la mordit, bu un peu de son sang et lorsque son appétit fût enfin un peu diminué, il s’en prit au garçon qu’on appelait son frère. Ce fût une nuit sanglante. Personne ne survécu excepté notre merveilleux James, sexy comme tout!

* * *

Et non, c’est pas ça non plus qui s’est passé! Bah, le dialogue oui mais pas l'affaire du dîner. James est pas un vampire quand même! Si seulement...

-Maman aime pas les traces au mur, Oli’!

James trouvait bien l’odeur de la jeune fille intéressante et attirante mais ne la trouvait pas très belle. cette fille. Et en plus, de mauvais goûts! Et oui, elle sortait sûrement avec cette chose, Ollivier! Il l’a dévisagea un long moment, elle, une fille pas rapport dans le décor. Et que dire du regard du tueur qu’il lança à Ollivier, après avoir dédaigné la fille. Orage à l’horizon…

Voilou! J'espère que ça va! Je suis pas trop folle, non?

( Lolee. « T'as apporté à diner. » J'viens d'la catcher XD !! )

L'adolescente venait de saluer le jeune homme qui se situait devant elle. Ce « James » était sûrement nouveau dans les barrages où n'était pas venu dans le secteur depuis un très long moment car la jeune fille ne l'avait jamais vu à Pinchbeck Creek, ni sur aucun tableau de la maison des Turner. Pourtant, il avait dit « maman. » Était-ce son frère ? Son grand frère ? Bref, pour un grand frère, l'adulte ne semblait appréhender une forte amitié aurprès de son cadet. Néanmoins, avec sa nouvelle petite soeur, Vanessa Swan, celle-ci était très proche depuis le peu de temps qu'elle se connaisait.

Comme dit plus haut, Emma fît un beau « bonjour » à James et celui-ci semblait totalement indifférent dans sa requête, cela gêna la jeune demoiselle. Ce n'était pas le genre des autres d'avoir une réaction de la sorte auprès d'elle, surtout auprès de cette jeune fille, sensible et si innoncente. Bref, dès qu'elle lui fit signe de la main, celle-ci regarda en direction du sol et s'assoya sur l'une des marches de l'escalier. Elle ne prit pas la peine de s'incruster dans la conversation, ne connaisant pas assez le jeune homme pour lui parler. Par contre, la tête appuyé sur le rebord de l'escalier, elle admirait son meilleur ami en conversation avec son frère.

James était l'un de ses types assez bête et chiant mais celle-ci renvala le commentaire, même si ce type de pensée n'entrait généralement pas dans sa mémoire. Cette fois-ci, il avait la mine d'une personne qui cherchait à provoquer l'autre.

Et dès que celui-là entra dans la maison, il prit la peine de dévisager intensément la belle demoiselle et celle-ci contourna son regard. Pourquoi la regardait-elle ainsi ? Qu'avait-elle fait ? Pourtant, Emma n'avait prit la peine que de lui dire « allo », qu'avait-il de mal dans tout cela ? Mine de rien, elle continua d'observer ses deux grands hommes et se passa une main sur la tête. Dès qu'Ollivier l'observa, elle prit la peine de conserver son regard en faisant mine de rien. Intérieurement, par contre, celle-ci ne comprenait pas l'attitude de ce grand gaillare.

Il avait suffit d'a peine quelques minutes pour qu'Oli' découvre que James était revenu et que tout en étant un homme différent que celui qui était parti, il semblait être a première vue, pire encore qu'il avait pu le sembler alors. Mais, il ne fallait pas juger trop tôt, même s'il avait dû faire la même impression à Emma qui venait de s'assoir dans les marches de l'escalier, en recul.

-Laisses-moi donc entrer, empoté! C'était James, toujours aussi agréable qui jouait au dure comme toujours.

Alors, Ollivier s'était écarté, laissant la place qu'il fallait (ÉNORME) pour qu'il puisse entrer. Ouais, je dis énorme, parce qu'avec tous les muscles qui débordaient de son chandail et sa tête qui avait pris des proportions démesurés, il aurait dû plier les genoux pour passer dans l'encadrement. James était d'un cynisme qu'Oli avait été heureux d'oublier, mais il n'allait certainement pas laisser son faux frère faire à sa tête. Il n'y avait aucune raison qu'il joue et que lui le "bon fils" s'efface comme il l'avait toujours fait.

Il se tourna donc vers Emma, lui offrit sa main en souriant pour l'insiter à se relever. Oli' l'aimait et il allait montrer qu'il était fier qu'elle soit sa meilleure amie mais surtout qu'elle n'avait aucune raison de s'effacer alors qu'elle représentait pour Oli' absolument tout!

-C'est James, mon frère, enfin le vrai fils de mes parents.... Il parlait tout bas, c'était à Emma qu'il s'adressait.... Je t'ai dit que j'avais été adopté non? Son regard dans celui de la jeune femme Swan, lui aurait redonner tous le courage du monde s'il lui en avait manqué et même si ce n'était pas nécessaire pour le moment... Alors, il se retourna vers son presque frère James.... j'te présente Emma Swan, une très bonne amie.

CELLE QUE J'AIME, mais il n'en avait pas dit un mot, parce qu'Emma lui en aurait sans doute voulu et qu'il aurait peut-être ouvert James à un intérêt malsain pour la brunette.

D'ailleurs, une bonne question reste encore a venir, James allait-il s'étonner qu'Ollivier ose parler? Qu'il mette un pied à terre devant cettre brute remplis de muscle laissant si peu de place à la cervelle qui avait dû alors s'attrophier laissant qu'une place pour un espece de réflexe brute de sauvagerie, de haine et de dégout. Comme s'il était incapable d'un quelqu'onque autre sentiment. James était capable de détester, de haïr et de tuer, mais était-il capable d'aimer, de chérir, pourrait-il avoir un jour des enfants et les aimer aussi fort qu'il le devrait? La vie de James s'arrêtait-elle à l'armer? Pourrait-il revenir à une vie qui était normale? pourrait-il enfin laisser le passer de côté pour se consenter sur son présent et sur le futur à venir? Oli' a ce moment en doutait vraiment.

-Maman est pas ici! Alors qu'est-ce que tu viens faire? C'est certainement pas pour moi que t'es venu... ce serait me donner beaucoup trop d'importance! non?

Et si un sourrir prennait naissance sur ses lèvres alors qu'il avait toujours la main d'Emma dans la sienne, il sentit le regard de celle ci sur son dos.